Leçons de leadership : le parcours de vice-président des finances à président

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Nous avons clôturé 2024, une année de croissance et d’évolution remarquables, en annonçant que Michael Penman allait devenir le nouveau président de Payworks, nous nous sommes donc dit que nous allions démarrer 2025 en le présentant à nouveau! Mike a rejoint Payworks en 2016 en tant que vice-président des finances, avant de devenir directeur des finances et directeur de l’exploitation. Il est également connu sous le nom de Penman, « the numbers guy » (monsieur chiffre), et il est sans conteste la plus grande personne du bureau.

Nous avons rencontré Mike pour en savoir plus sur son parcours professionnel, découvrir ce qui a été le plus important pour lui tout au long de sa carrière, et même nous « amuser avec les chiffres » (un classique avec Penman).

Image : Michael Penman, Président de Payworks.

Michael Penman.

Pouvez-vous nous parler de votre parcours professionnel? Votre objectif a-t-il toujours été de diriger une entreprise?

J’ai commencé ma carrière en travaillant chez Deloitte, où je suis devenu ce que l’on appelle maintenant un CPA CA et j’y suis resté quelques années avant de rejoindre un fournisseur international de services de traitement de la paie. J’ai dans cette entreprise travaillé pendant plus de dix ans à divers postes au sein du service des finances et avec les responsables des activités commerciales. Une fois que j’ai quitté cette organisation, l’équipe de direction de Payworks m’a recruté pour devenir vice-président des finances… et nous voici revenus au présent!

Toutefois, le poste de président n’était vraiment pas l’objectif; mon but a toujours été de mener une carrière fructueuse en appréciant mon travail et en apportant ma pierre à l’édifice. Après tout, je pensais à une époque que je serais un partenaire qui donne des conseils fiscaux et comptables aux clients! Peu importe où j’ai été ou dans quelle équipe j’ai travaillé, j’ai la chance de pouvoir dire que j’œuvre chaque jour à la réalisation de mon objectif.

Qu’avez-vous retenu de vos premiers mois à la tête de Payworks?

C’est intéressant, parce qu’il n’y a pas deux jours identiques. Vous avez l’occasion d’avoir diverses interactions et, je l’espère, de contribuer à l’évolution d’autres personnes et de voir leur succès. J’ai également eu le plaisir de faire plus ample connaissance avec l’ensemble de l’équipe! Payworks est le genre d’endroit où l’on se sent à l’aise pour dire bonjour ou plaisanter avec à peu près n’importe qui dans le couloir.

Beaucoup de personnes travaillent à Payworks désormais. J’ai toujours été conscient de la complexité d’employer 600 personnes et d’équilibrer la multitude de services et de projets qui en découlent. Mais je ne me rendais pas bien compte du nombre de balles avec lesquelles il est nécessaire de jongler et du temps qu’il faut pour rester informé et s’assurer que les personnes occupées communiquent et interagissent les unes avec les autres de la bonne manière.

À quoi ressemble une journée de travail normal pour vous désormais? Avez-vous des habitudes pour vous aider à démarrer la journée ou à vous détendre une fois que vous avez terminé?

Comme je l’ai déjà dit, il n’y a pas deux jours identiques… mais il y a une part de routine qui n’est pas négociable : je commence par prendre le petit-déjeuner avec ma famille avant de me rendre au bureau.

Une fois sur place, j’apprends les dernières nouvelles et j’ai généralement cinq à six réunions individuelles et d’équipe par jour. Entre-temps, je visite quelques étages, juste pour voir les gens et me faire une idée de la façon dont les choses se passent et de ce qu’ils ressentent. Je sors de chez moi pour souper avec ma famille, puis je rattrape mes courriels une fois les enfants couchés, car je préfère avoir tout terminé avant de commencer la journée suivante!

Pendant les heures creuses, lorsque le temps m’empêche de sortir, j’essaie généralement de faire du bricolage à la maison, c’est ma forme de méditation. Ça peut paraître étrange : « Hé, comment médites-tu? » « Je travaille encore plus! » Mais comme il s’agit d’une forme de travail différente, c’est un bon moyen de se distraire.

Maintenant que vous êtes président de Payworks, y a-t-il quelque chose qui vous manque ou vous fait défaut par rapport à vos postes antérieurs?

Au cours de mes premières années en tant que directeur des finances, mes amis se moquaient de moi lorsque je recevais un appel téléphonique sur le terrain de golf me demandant de partir et d’aller éteindre le chauffe-eau au travail (ou toute autre situation). Je n’étais pas le premier à être appelé, mais parfois j’étais le premier à répondre, et s’assurer que nos actifs sont protégés est ma responsabilité. Aujourd’hui, je suis toujours sur la liste d’appel, mais beaucoup plus bas heureusement!

Cependant, il m’arrive parfois de me perdre dans les détails et l’exécution, plutôt que de penser à un niveau stratégique. Même à l’époque où je ne travaillais pas pour Payworks, j’éprouvais une grande satisfaction à résoudre un problème de comptabilité ou de mathématiques. Cela dit, j’effectue encore ce travail en partie aujourd’hui, mais on fait davantage appel à moi pour des conseils, par exemple « c’est une nouvelle année fiscale, qu’est-ce qui change? ». J’utilise donc toujours les mêmes connaissances, mais de manière différente.

Vous faites partie de l’équipe de direction de Payworks depuis neuf ans, lequel des accomplissements de l’entreprise vous rend le plus fier?

Franchir des étapes clés est une source de fierté pour moi et me rappelle ce qui a été accompli, comme lorsque nous avons dépassé les 500 employés, et que j’ai pu prendre un moment pour réfléchir et reconnaître la taille et l’ampleur de ce chiffre!

Je suis également très fier de tout ce que nous faisons pour redonner à la communauté, et de l’effet positif de nos efforts autant à l’échelle nationale que locale. J’aime voir Payworks lors d’un événement communautaire et entendre mes enfants crier lorsqu’ils voient le logo. Cela conduit à de nombreuses conversations intéressantes.

Bien évidemment, je suis aussi fier que Payworks ait été choisi comme partenaire exclusif de transfert et de référence pour le traitement de la paie de Deluxe Canada en 2024. Nous avons effectué l’intégration de près de 9 000 clients en plus de nos activités normales et nous l’avons fait encore mieux que prévu grâce aux compétences et au dévouement extraordinaires de toute notre équipe.

Penman, Barb et JP à la grande ouverture de Payworks. Image : Michael Penman avec Barb Gamey, Cofondatrice, et JP Perron, PDG retraité, à la grande ouverture de Payworks Way en 2024. 

Y a-t-il des « chiffres amusants » que vous aimeriez partager?

Avec grand plaisir!

Terminons avec cinq questions rapides pour conclure la conversation :

  1. Quand vous étiez enfant, que vouliez-vous faire quand vous seriez grand?

    Banquier d’affaires ou ingénieur.

  2. Avez-vous reçu des conseils qui ont trouvé écho auprès de vous?

    Ne faites pas une montagne des petites choses et n’oubliez pas que la famille passe toujours en premier.

  3. Écoutez-vous des balados sur le leadership ou les affaires en ce moment?

    J’écoute parfois le balado de Malcolm Gladwell, Revisionist History, et un ami m’a suggéré d’écouter le balado Acquired, qui examine en profondeur la façon dont les entreprises deviennent prospères. Les épisodes d’IKEA et de Costco étaient tous deux très intéressants, et permettaient de voir comment des personnes ont changé la manière dont les produits sont mis sur le marché pour l’ensemble du secteur.

  4. Y a-t-il des dirigeants dont vous avez suivi l’histoire?

    J’ai lu des articles sur des personnes qui ne sont pas nécessairement des leaders, mais qui ont réussi à accomplir beaucoup de choses, comme Warren Buffett, l’oracle d’Omaha, qui a bâti un empire et continue de le faire à 90 ans. Il prévoit de faire don de la majeure partie de sa fortune et travaille uniquement pour le plaisir de le faire, c’est donc une histoire très intéressante.

    J’ai également regardé des documentaires sur Winston Churchill, pas nécessairement pour ses idées politiques, mais pour le récit de ses succès et de ses échecs. Chaque fois qu’il a échoué, il a appris de ses erreurs et s’est relevé.

  5. Lors des tirages au sort des précédents Cercle du Président, nous avions pour tradition de demander à l’équipe de direction de se déguiser pour annoncer les noms des gagnants. Avez-vous un costume préféré? Et la tradition se poursuivra-t-elle maintenant que vous êtes président?

    La tradition se poursuivra, mais, et c’est une déclaration officielle au grand malheur de notre équipe de marketing, je ne pourrai pas démontrer les mêmes talents d’acteur que mon prédécesseur. Je pense que cela fait partie de notre identité et qu’il est bon de s’amuser et de rire de soi-même, surtout parce le but est de reconnaître le travail des gens et de susciter de l’enthousiasme pour le voyage.

    Pour ce qui est de mon costume préféré, il ne me va pas vraiment, mais je porte toujours le costume du Yéti pour Halloween, lorsque j’accompagne les enfants de maison en maison. Je l’ai déjà porté deux fois en dehors du travail! Je ne dirais pas que le costume du lutin était mon préféré cependant.

Prêt à vous consacrer à une vision globale? Grâce à la suite unifiée de solutions de gestion de la main-d’œuvre de Payworks, vous pouvez continuer à vous concentrer sur l’investissement le plus important de votre entreprise : vos employés. Pour en savoir plus : https://www.payworks.ca/fr/solutions/apercu.

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